beaucoup de gens ont toujours voulus savoir sur la maison des tôles bleu se trouvant en face des cliques universitaire de l'université de Kinshasa soit à côté du terrain de football de Monastère.
voici aujourd'hui monsieur LUWEY MPIA Tigana vous montre c'est que vous voyez de loin.
la maison que vous voyez chaque fois que vous passer sur cette route n'est rien d'autre qu'un centre Hospitalier GILD de l'association GLD dont la Direction Générale se trouve en ville. ce centre de Hospitalier est un résultat de coopération entre le monastère et cette association pour aidez les occupants du monastère de se soigner et la population qui habite les environs du monastère.
mardi 12 juin 2012
vendredi 8 juin 2012
évolution de la communication en RDC
la communication a plusieurs manières de l'effectuer dans sujet nous avons choisi l'évolution de la communication médiatique.
notre source: Mr NGAMBELE Henry, né le 25 janvier 1934 à léopolville (Kinshasa)
Il nous parle de la Radio et de la Télévision
La
République
démocratique
du Congo, pays indépendant
depuis 1960, a
progressivement pris l’ascenseur durant les deux décennies
dernier
dans l’espace de
l’audiovisuel grâce
à
l’émergence des
chaines de télévision,
radio et presse écrite
tenues par de privés.
Le
constant que nous avons fait dans l’espace audiovisuel, nous
révèle
que c’est a partir des années
1990 que le prives ont posé
le première
jalon dans cette sphère.
REGARD
SUR LE PASSE
D’une
manière générale
les origines des médias
audiovisuels en République
Démocratique
du Congo remontent à
l’époque
coloniale belge .Pour
une petite histoire : « la première
chaine de radio en RDC a vit le jour en 1937, elle
fut l’œuvrés
des pères
jésuites.
Cette chaine portait le nom de Radio Léo
».
Par
la suite, le développement
de la Radio servit de cadre à
l’irruption de la télévision
au sein de l’univers culturel congolais,
le 1ér
janvier 1943 les colons belges mettent sur pieds la radio « Congo
belge »
qui deviendra plus tard la Radio nationale congolaise,
c’est en dotant la radio de nouveaux équipements
pour sa diffusion que le pays va acquérir
la logistique nécessaire
pour la télévision.
Comme
le souligne à
juste titre KASONGO MWEMA professeur de l’IFASIC « si l’ère
officielle de la télévision
au Congo Kinshasa est due à
la volonté
des dirigeants congolais, la première
expérience
de télévision
au Congo relève
du secteur privé
et précisément
de l’union manière
du Haut-Katanga ».
En
effet, cette société
faisait fonctionner en circuit fermé
en son siège
de Elisabethville, dès
1964 une télévision
dans de conditions techniques
assez rudimentaires en vue d’assurer la formation technique des
agents. En date du
24 novembre 1967 par le président
de la république
de l’époque.
Par
la suite, en 1981, il fut crée
conformément
à
l’ordonnance
n°81/050
l’office zaïroise
de radio diffusion et de télévisons.
A propos du paysage télévisuel
en R .D.Congo,
il y a lieu de signaler que pendant longtemps, il a été
domine par la présence
d’une seule
chaine publique qui bénéficiait
d’un monopole légal.
A la suite de la démocratisation
de l’espace politique
intervenue en 1990, une loi sera adoptée
consacrant la libéralisation
de l’espace audiovisuel congolais et cassant ainsi le monopole
jusque là détenu
par l’Etat.
Ainsi plusieurs
chaines privées
vont apparaitre. A ce jour, on compte un bon nombre de chaines de
télévision ;
radio et journal (presse écrite).
Nous
dirons la démocratisation
a donnée
une évolution
parfaite de la communication à
nos jours. En
partant de l’article 19 de la Déclaration
Universelle des droits de l’homme,
dit ceci : « tout individu a droit à
la liberté
d’opinion et d’expression
.Ce qui implique le droit de ne pas être
inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et les idées
par quelque
moyen d’expression que ce soit ».
Si nous chutons aussi de la Constitution de la République
Démocratique
du Congo ,elle dit ceci à
l’article 24 : « toute personne a droit à
l’information .La liberté
de la presse , la liberté
d’information et d’émission
par la radio et télévision
,la presse écrite
ou tout autre moyen de communication sont garanties sous réserve
du respect de l’ordre public , des bonnes mœurs et des droits
d’autrui ».
Grace
au multipartisme qui été
annoncé par
l’ex président
MOBUTU le 24 avril 1990 qui a permis de chaines privées
naissaient
dans l étendue
nationale. Elles sont toutes au service du public, et
chacune
d’elles,
tente de se battre pour capter le plus des téléspectateurs.
Pendant cette période,
l’évolution technique fut un processus continu ; des
savoir-faire, des modes de vie et des métiers
traditionnels disparurent, des provinces et des villes autrefois
prospères
perdirent leur richesse au profit d’autres régions,
mais ce fut toujours par un processus de destruction-création
caractéristique
du progrès
technique. Celui-ci n’a plus subi de
grand recul ou de stagnation sur une longue période.
Aujourd’hui la mondialisation est apparue pour simplifiée
tous les problèmes
d’auparavant.
Tigana LUWEY
ISTM Kin
L’Institut supérieur des techniques médicales, ISTM/Kinshasa est pourvu de ses infrastructures construites avec des fonds propres. Le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire, ESU, le Pr Léonard Mashako Mamba a salué samedi, le pragmatisme dont a fait montre le comité de gestion que supervise le DG Robert Basosila Lolofa. C’était à l’occasion de la cérémonie d’inauguration officielle qui a été honorée de la présence d’invités, parmi lesquels des chefs d’établissements d’enseignement supérieur et universitaire et d’un représentant de la Coopération chinoise, M. Gang. Les étudiants, principaux bénéficiaires, ont salué cette réalisation qui est, à leurs yeux, riche de signification.
Car elle permet à l’établissement concerné de mettre fin à un contrat de bail d’environ trois décennies qui le liait à l’Université de Kinshasa. Le DG a relevé ce passé dans son intervention. « La meilleure façon d’encourager la communauté de l’ISTM/Kinshasa est qu’elle ait quitté le site de l’Unikin pour construire son propre bâtiment sur fonds propres (…) », a-t-il souligné. Il a félicité les membres du corps enseignants dont l’engagement à l’œuvre amorcée a été sans arrêt à ce jour.
Parler des fonds propres pour un établissement d’enseignement qui a les parents d’étudiants pour principaux partenaires. C’est ce qu’a fait observer l’orateur. « L’ISTM/Kinshasa est ce qu’il est grâce à la présence des étudiants et aux contributions des parents qui donnent le meilleur d’eux-mêmes, pour que cette institution ait des fonds propres pour son fonctionnement », a-t-il indiqué. Et de lancer aux étudiants visiblement enchantés et décomplexés : « votre campus vous appartient, et vous en êtes fiers ! ». Moderniser les établissements de l’ESU en RD Congo figure parmi les priorités définies par le Président de la République, pour assurer à bon escient la formation des ressources humaines. Aussi dans ce contexte, construire sur fonds propres s’avère-t-il un défi à relever par une gestion saine.
« Nul ne pouvait s’imaginer que l’ISTM/Kinshasa pouvait être en mesure de construire ses propres infrastructures. (…) L’homme se découvre quand il se mesure à l’obstacle, a dit Antoine de Saint-Exupéry », a dit le DG. Outre les cinq auditoires pourvus des capacités d’accueil allant jusqu’à 1200 places, le site comprend un laboratoire d’analyse, environ 6000 arbres plantés dans le cadre de la lutte anti érosive. La coordonnatrice des étudiants a lancé un appel a sollicité l’implication de l’autorité de tutelle dans la perspective de la construction d’autres auditoires à deux niveaux et d’une bibliothèque moderne. Les travaux d’urbanisation du site de l’ISTM/Kinshasa se poursuivant, le représentant de la Coopération chinoise demandé a la communauté bénéficiaire de demeurer confiante, après que cinq auditoires aient été apprêtés, dont quatre d’une capacité de 300 places chacun et un de 600.
L’acquisition du nouveau patrimoine responsabilise la communauté bénéficiaire, a insisté le ministre
D’entrée de jeu, le ministre a adressé des remerciements à l’endroit de Mgr Plevoets. Se tournant vers les étudiants, l’autorité leur a fait comprendre que ce nouvel acquis était une responsabilité pour la communauté bénéficiaire. « Il y a un temps pour tout : un temps pour tout dans la vie : hier locataire, aujourd’hui propriétaire (…) vous avez montré que vous pouvez « vouloir et pouvoir ».
Organisez-vous et comptez sur vous-mêmes, prenez-vous en charge comme l’a recommandé M’Zee Laurent Désiré Kabila. Il faut savoir regarder chez le voisin et suivre son exemple », a-t-il suggéré. La vie estudiantine est un temps qui prépare le jeune au service qu’il est appelé à rendre demain à la nation. Le ministre a appelé les étudiants à faire preuve d’élévation et à mettre fin aux conflits intempestifs les opposant à leurs « voisins » de l’Unikin.
« Si l’on investit dans le secteur de l’enseignement, la RDC ne sera pas un pays émergent d’ici en 2030 », a-t-il rappelé, exhortant les jeunes intellectuels à garder la flamme du patriotisme et du savoir.
A partir du 31 mars courant, le gouvernement commence la préparation du budget 2012. L’autorité a rassuré que la rubrique bourse des étudiants ne sera pas mise en reste. Pour cela, le comité de gestion a été instruit de notamment finaliser les listes des finalistes.
Dans le souci de devenir autome en ceux qui concerne les locaux de cours et les buréeaux pour l'administration de l'ISTM, le Directeur Générale de cette institut à fait appel à la société de construction Chinoise GREK8 pour la construction de 4 locaux de cours et un batiment pour les bureaux administratifs de ladite institut.
Dans le cadre de modernisation des institutions d'enseignement supérieur et Universitaire promis par la tête de la République Démocratique du Congo Joseph Kabila. L’Institut Supérieur de Technique Médical toujours dans le même souci de chef de l’Etat s’est doté des nouveaux bâtiments dont l’un déjà finis, l’un en pleine construction et l’autre presque finis.
Le bâtiment finis et ces qui sont en pleine travaux de finissage ont été remis à la main de la société de construction Chinoise GREK8 en présence de Directeur Général de l’ISTM le professeur BASOSILA et de l’exe Ministre de l’ESU Leonard MASHAKO qui d’ailleurs dans son discourt de circonstance : « a appelé à tout les étudiant d’en faire bon usage… » Avec toutes les désarrois qu’ont vécu les étudiants et les Professeur de l’ISTM face aux insuffisances des auditoires et salle ou bureau, Sont obliger d’en faire bon usage.
Tigana LUWEY
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